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Les 10 meilleurs films du XXIe siècle selon New York Times

Witensky Lauvince by Witensky Lauvince
15 août 2025
in Cinéma, Culture
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Le 21ᵉ siècle a profondément bouleversé notre rapport au cinéma. Entre l’explosion des plateformes de streaming et la domination des blockbusters, le septième art a dû redéfinir ses codes. Pour éclairer ce moment de bascule, le New York Times a interrogé plus de 500 réalisateurs, acteurs, critiques et figures influentes du monde du cinéma, de Pedro Almodóvar à Julianne Moore, afin d’établir le palmarès des 100 meilleurs films sortis depuis le 1ᵉʳ janvier 2000._

Les votants ont désigné leurs dix films de prédilection et le New York Times a rassemblé les cent œuvres les plus plébiscitées. La rédaction vous présente aujourd’hui le palmarès des dix titres majeurs qui ont durablement marqué les esprits.

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10. The Social Network de David Fincher, 2010

Paru en 2010, ce biopic palpitant de l’excellent David Fincher explore les origines de la très populaire plateforme baptisée “Facebook”.

En 2003, Marck Zukerberg est encore un étudiant de l’Université d’Harvard. Il crée avec son ami Eduardo Saverin un algorithme pour un site sur lequel chaque utilisateur pouvait voter pour classer le physique des étudiantes du campus. Facemash était né, et a connu un succès immédiat au sein du campus. Mark est rapidement contacté par Divya Narendra et les jumeaux Winklevoss. Ces derniers veulent l’engager pour la conception d’un site de rencontre pour étudiants. Une idée dont va s’inspirer Zuckerberg pour réaliser sa propre création.

Parti d’un sujet qui semble à priori ennuyeux et pauvre de rebondissements, ce film accroche le spectateur parce que le réalisateur a justement su créer la surprise. Non, ce n’est pas qu’un film sur Facebook. La plateforme n’est qu’un thème secondaire au tableau dramatique que peint Fincher : un mélange de conflits d’égos, de trahisons, de quête de renaissance et de rêves de grandeur.

Bien reçu par la critique et le public, The Social Network a glané un total de 224 millions de dollars pour un budget de 40 millions et affiche un score de 96% sur Rotten Tomatoes, de 4,4 sur 5 sur Allociné et de 7,8 sur 10 sur IMDb.

 

9. Le Voyage de Chihiro (Spirited Away) de Hayao Miyazaki, 2002

Pas étonnant que le plus grand succès de l’histoire du cinéma japonais fasse partie de cette liste. Sorti en 2001, cette pépite du génie Hayao Miyazaki explore le surnaturel, même le divin, en faisant se côtoyer notre monde et celui des monstres et des dieux, à travers l’expérience d’une petite fille de 10 ans au caractère difficile.

Avec ce style qui lui est propre, Miyazaki se surpasse dans ce long-métrage qui battra le record d’entrées du cultissime Titanic. Jeux de couleurs, de lumières, de sons et d’idées, rien ne manque à ce chef-d’œuvre philosophique qui traite du jeu incessant entre le Bien et le Mal.

En plus des nombreux prix remportés, Le Voyage de Chihiro a recolté plus de 210 millions de dollars pour un budget de 19 millions et affiche un score de 96% sur Rotten Tomatoes, de 4,8 sur 5 sur Allociné et de sur 8,6 10 sur IMDb.

8. Get Out de Jordan Peele, 2017

Nous voilà à présent dans l’univers très prisé de l’horreur et des frissons. Sorti en 2017 ne peut-on pas déjà considérer Get Out come un film culte du genre ?

L’histoire suit un jeune Afro-Américain rendant visite pour la première fois aux parents de sa petite amie blanche. Quoi de plus normal ? Le génie de Jordan Peele a su tourner cette visite anodine en une cascades d’émotions, mélangeant horreur, humour, et réflexion. Chapeau aussi à la performance monstrueuse de Daniel Kaluuya (qui nous a offert en passant un meme légendaire).

Get Out a glané un total de 255 millions de dollars pour un budget de 4.5 millions et affiche un score de 98% sur Rotten Tomatoes, 4 sur 5 sur Allociné et de 7,8 sur 10 sur IMDb.

7. Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Michel Gondry, 2004

Quoi de mieux pour nous ébrouer des frissons de l’horreur qu’une bonne histoire d’amour ? Parlons à présent d’un autre classique de son propre genre, l’excellent film produit par Michel Gondry, Eternal Sunshine of the Spotless Mind.

Clémentine est au lendemain de sa rupture avec son ex-petit copain, Joel. Elle recourt à un procédé pour effacer de sa mémoire tous les souvenirs de celui qui fut son amant. Joel, ayant découvert les efforts extrêmes de Clementine pour l’oublier, contacte le Dr. Mierzwiak pour en faire autant. Et c’est dans cette valse de souvenirs, de douleur, de cœurs brisés et de rancœur que nous suivons malgré nous la disparition de cette belle histoire d’amour.

Cette randonnée émotionnelle proposée par Gondry nous plonge dans une visite de thèmes profonds tels que l’identité, la mémoire, la nature de l’amour, l’importance des souvenirs. Propulsé par la performance stellaire de Kate Winslet et de Jim Carrey pourtant plus connu pour ses performances comiques, Eternal Sunshine of the Spotless Mind affiche un score de 92% sur Rotten Tomatoes, de 4 sur 5 sur Allociné et de 8,3 sur 10 sur IMDb. Le film a récolté 74 millions dollars pour un budget de 20 millions.

6. No Country for Old Men de Ethan et Joel Coen, 2007

Nous voilà repris de frissons, cette fois-ci pas nécessairement d’horreur. Ce thriller sorti en 2007 nous a offert l’un des méchants les plus reconnaissables et charismatiques de l’histoire du cinéma.

Au hasard d’une partie de chasse, Llewelyn Moss tombe sur une scène de trafic de drogues qui a mal tourné. Au milieu des cadavres, il découvre une mallette bourrée de billets qui emporte, sachant pertinemment le risque qu’il court. Llewelyn devient alors la cible d’une nouvelle partie de chasse, menée par l’impitoyable Anton Chigurh, lui-même pisté par le shérif Bell.

Cette excellente proposition de Joel et Ethan Cohen, en plus de relater une palpitante double-poursuite, nous familiarise avec un personnage devenu si culte qu’il est beaucoup plus considéré comme une idée, une philosophie. Anton Chigurh a le visage inexpressif. Armé d’une arme cocasse (un pistolet d’abattage de bestiaux), Chigurh laisse derrière lui une trainée de cadavres. Il n’est pas qu’un tueur. Il est la mort dans sa plusm sinistre et implacable expression. Le personnage a même été classé par un groupem de psychiatres de l’Université libre de Bruxelles comme celui qui représente le mieux l psychopathie à l’écran. Rien que ça ! Nous ne pouvons que saluer la performance de patron de Javier Bardem !

No Country for Old Men a récolté plus de 171 millions de dollars pour un budget de 25 millions. Bien évidemment, cet excellent polar affiche un score de 93% sur Rotten Tomatoes, 4,6 sur 5 sur Allociné et de 8,2 sur 10 sur IMDb.

5. Moonlight de Barry Jenkins, 2016

Nous sommes à présent face à un film à caractère semi-autobiographique traitant de la quête de soi. Ayant grandi dans un quartier difficile de Miami, Chiron, un jeune Afro-Américain homosexuel, se découvre à travers ce tableau en trois chapitres, offert par Barry Jenkins.

Le Chiron enfant, le Chiron adolescent et le Chiron adulte se dévoilent au fur et à mesure qu’évolue l’histoire, et nous découvrons à chaque étape un nouveau visage, ciselé en grande partie part l’entourage du jeune homme.

Mooolight est avant tout l’histoire du jeune homme qui se cherche et veut trouver sa place dans le monde. Il veut savoir qui il est, veut comprendre ce qui le définit et apprendre à embrasser son homosexualité dans un décor peu bienveillant. Moonlight est le portait sensible d’un jeune homme qui connait tour à tour l’amour, la violence, le désespoir, la tendresse.

Après avoir raflé trois Oscars sur huit nominations, Moonlight a récolté un total de 65 millions de dollars pour un budget de 4 millions et affiche un score de 98% sur Rotten Tomatoes, de 4,2 sur 5 sur Allociné et de 7,8 sur 10 sur IMDb.

4. In the Mood for Love de Wong Kar-Wai, 2001

Ah ! Que c’est compliqué, l’amour ! Plus ce thème est abordé, plus il nous semble intarissable. Cette fois, nous l’examinons à travers l’univers vivide et romancé de Monsieur Wong Kar-Wai, une légende ultime du cinéma de Hong Kong.

Les époux Chow fraîchement installés dans leur nouvel appartement à Hong Kong, ont pour voisins les époux Chan, eux aussi nouveaux venants. Monsieur Chow Mo-Wan et Mme Su Li-zhen, épouse Chan, se lient peu à peu d’amitié. Et, alors que cette amitié se métamorphose en quelque chose de plus profond, ils découvrent l’infidélité de leurs conjoints respectifs.

In the mood for love dépasse une simple histoire d’amour. C’est un poignant jeu de subtiles émotions. Au-delà de la douleur de la trahison, se joue aussi des drames intérieurs, exacerbés par une attraction réciproque qu’aucun des principaux protagonistes ne veut se résoudre à avouer, mais qui se révèle de plus en plus difficile à ignorer à mesure que l’histoire se déroule. En plus d’un chef-d’œuvre visuel, où chaque plan, chaque cadrage, chaque jeu de couleur et de lumière frôle la perfection, ce film est aussi porté par la prestation magistrale des deux acteurs principaux, Tony Leung Chiu-Wai (qui remportera d’ailleurs en 2000 le Prix d’interprétation masculine du Festival de Cannes) et Maggie Cheung.

In the Mood for Love, César 2001 du Meilleur film étranger, a glané un total de 16 millions de dollars pour un budget de 3 millions et affiche un score de 92% sur Rotten Tomatoes, de 4,6 sur 5 sur Allociné et de 8,1 sur 10 sur IMDb.

3. There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson, 2007

S’agit-il ici de la plus grande réalisation de Paul Thomas Anderson et de la meilleure prestation de Daniel Day-Lewis ? There Will Be Blood est une grande claque à la face de la sempiternelle avidité caractéristique du capitalisme.

Daniel Plainview est un mineur d’argent qui apprend l’existence d’une petite ville de Californie où le pétrole suinterait du sol. Il débarque ainsi à Little Boston, accompagné de son fils, H.W., naturellement en quête d’or noir et de fortune. Démarre alors une ascension fulgurante, mais à quel prix ?

En peu de mots, There Will Be Blood est une histoire de famille, de religion, de haine, de pétrole et de folie, centrée sur un prospecteur aux débuts de l’entreprise (IMDb, n.d.). Ce film dépeint l’emprise malsaine de l’argent sur l’esprit humain. C’est un terrible cercle vicieux où tous les moyens semblent bons pour gagner la fortune, quitte à exploiter la bonhommie et la naïveté des habitants de Little Boston, et où toutes les valeurs humaines s’éteignent dans le gouffre de l’ambition. Cette transformation progressive et terrifiante d’un homme en monstre avide est sublimement ponctuée par une mise en scène et une photographie époustouflante.

Ce chef-d’œuvre de Paul Thomas Anderson a glané un total de 40 millions de dollars pour un budget de 25 millions et affiche un score de 91% sur Rotten Tomatoes, 4,6 sur 5 sur Allociné et de 8,2 sur 10 sur IMDb.

2. Mulholland Drive de David Lynch, 2001

Pas étonnant que le monde cocasse de David Lynch, référence incontournable du septième art, ait rejoint ce top 10. Mulholland Drive est une quête folle, et à la chronologie pour le moins éparse. Pour répéter le réalisateur lui-même, « l’ordre ici n’a que peu d’importance » .

L’aventure commence chez Betty Elms, une actrice amatrice en quête de gloire et de succès venue s’installer à Los Angeles. Elle découvre dans sa salle de bain une jeune femme inconsciente, Rita, qui est amnésique après avoir échappé in extremis à ses poursuivants grâce à une accident de voiture. Un sac rempli d’argent et une clé bleue sont les seuls indices dont disposent les deux femmes pour essayer de recoller les pièces du puzzle et reconstituer l’histoire de Laura.

Ce film est une interminable énigme. Du début à la fin, le spectateur peine à trouver la connexion entre ses nombreuses scènes devenues cultes pour la plupart. Et le déclic vient (lorsqu’il vient enfin) au moment où on s’y attend le moins. Saluons aussi la performance des deux actrices principales, Laura Harring et Naomi Watts, cette dernière se révélant pour la première fois dans un rôle marquant.

Mulholland Drive a amassé plus de 20 millions de dollars pour un budget de 15 millions et affiche un score de 84% sur Rotten Tomatoes, 4,7 sur 5 sur Allociné et de 7,9 sur 10 sur IMDb.

1. Parasite de Bong Joon Ho, 2019

Œuvre la plus récente de ce top 10, Parasite est la preuve que la magie du cinéma est atemporelle. La présence de Bong Joon Ho, réalisateur Sud-Coréen, en accentue le caractère collectif. En quoi une comédie dramatique sur deux familles Sud-Coréennes que tout semble séparer s’impose-t-elle comme un chef-d’œuvre mondial ? C’est peut-être parce que ce long-métrage n’est qu’un miroir malaisant de notre société.

Si la question du conflit de classes, si chère au réalisateur, est aussi abordée dans cette œuvre, il y adopte un style bien différent. Un décor unique, une maitrise de l’espace, le tout renforcé d’un humour presque féroce, cette narration de l’histoire du jeune Ki-woo qui doit donner des cours d’anglais à la fille d’une riche famille, prend une tournure autant intensive qu’inattendue. Parsemée d’une myriade de symboles et d’indices, la narration se corse graduellement. L’accumulation progressive de tension laisse présager le point de rupture, le moment où tout va exploser. Et c’est à ce déclic tant attendu que se crée la surprise. Bong Joon-Ho décrit avec une précision frisant le cynisme une société conçue pour dresser les classes les unes contre les autres, avec une objectivité qui rendrait quiconque pessimiste quant à une probable possibilité de cohabitation.

Considéré comme la création qui consacre Bong Joon-Ho en roi du cinéma coréen, Parasite a arraché quatre Oscars lors de la prestigieuse cérémonie de 2020. Pour un budget de 11.4 millions de dollars, l’œuvre a généré des recettes de plus de 260 millions de dollars, et affiche un score de 99% sur Rotten Tomatoes, 4,7 sur 5 sur Allociné et de 8,5 sur 10 sur IMDb. Une merveille contemporaine à découvrir.

Witensky Lauvince

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Tags: CinémaFilmsmeilleurNew York Times

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